jeudi 2 avril 2009

Il est important de dire que l’homogénéité ne peut jamais exister dans une classe, pas plus que dans n’importe quel groupe d’apprenants. Nos collègues le savent bien : même s’ils ont le même âge, les enfants du début de l’année et ceux de la fin sont suffisamment différents pour perturber le bon déroulement du travail, généralement prévu pour être le même pour tous. Et ne parlons pas des problèmes que posent les autres différences, langues maternelles, religions, ethnies, classes sociales etc.

Même si tout est fait dans notre société, pour qu’il y ait le moins de mélanges possible, il reste suffisamment de diversité pour rendre les choses très difficiles pour la majorité de nos collègues.Pourtant, les données sont nombreuses, apportées par les travaux menés depuis quarante ans sur l’apprentissage et le fonctionnement des groupes, pour affirmer que ces différences, loin d’être négatives dans une classe, peuvent être, au contraire, de puissants atouts vers la réussite de tous les élèves.

Il est certain que la pédagogie la plus adpatée à la diversité d'une classe est la pédagogie différenciée dont nous avont déjà parlé.

Mme Gaucher, notre professeur du premier semestre, nous a souvent posée cette question :


"Comment faire de la diversité un atout, une force?"


Certains d'entre vous on d'ailleurs du y répondre dans leur mémoire. Ce serait intéressant de nous faire partager vos remarques dans un commentaire sur cet article...

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